La rénovation de l’éclairage public
et l'extinction nocturne : baisse de 30%
de la consommation annuelle d’électricité
Le remplacement progressif des fenêtres des écoles pour une meilleureisolation.
L’abaissement de la température de chauffage des équipements sportifs.
Pourquoi l’extinction nocturne ?
Car cela permet de limiter la pollution lumineuse, perturbante pour le vivant.
Les choix d'énergies renouvelables :
Un nouveau contrat avec EDF pour utiliser de l’énergie verte
dans les principaux bâtiments communaux.
Le lancement d’un projet d’une chaufferie bois, pour le chauffage de tous les bâtiments publics du centre, pour un bénéfice tant financier qu’environnemental.
Des études en cours pour l’implantation de panneaux solaires
sur une ou plusieurs toitures des bâtiments communaux.
La participation financière de la commune à la SAS Energ’y citoyenne pour favoriser le développement de l’énergie solaire
dans la métropole.
Pourquoi une chaufferie bois ?
Le bois est une source d’énergie locale et renouvelable et les chaufferies bois sont maintenant de plus en plus performantes et propres
Le tri et la réduction des déchets :
La mise en place de poubelles de tri
dans tous les bâtiments publics et disponibles pour les manifestations publiques.
L’arrêt de l’utilisation par la commune de verres jetables et la commande de verres réutilisables
pour les événements communaux (inaugurations, etc.)
L’inscription de la commune dans des expérimentations métropolitaines : CLIINK
pour améliorer le tri du verre, le test de 2 collectes de textiles, la lutte contre le gaspillage alimentaire.
La préservation des ressources naturelles, de la biodiversité et de notre santé :
La récupération des eaux de pluie
pour l’arrosage communal.
L’arrêt de l’utilisation des pesticides
dans les espaces verts, avant même la mise en application de la loi.
L’arrêt de l’utilisation de produits d’entretien chimiques
pour le ménage des bâtiments publics, en les remplaçant par du vinaigre blanc, du savon noir et de la vapeur d’eau.
La formation des agents d'entretien à ces pratiques d’hygiène et de nettoyage écologiques.
La pression sur les fournisseurs des repas (cantines, résidence autonomie, etc.) pour l’arrêt des barquettes en plastiques, avant la date légale, pour une portion de produits bio, pour le choix de producteurs locaux.
La qualité de l’air :
L’implication forte des élus
(dans les commissions du SMTC, par des courriers du maire au SMTC, etc.) pour que finalement la desserte des transports en communs soit améliorée : le nombre de bus direct 26 a été augmenté
à la rentrée 2019.
L’amélioration de la matérialisation des espaces pour les piétons
et les cycles
sur toutes les voiries rénovées.
L’achat par la commune d’un véhicule électriquepour lapropreté urbaine et les espaces verts.
La mise à dispositions de vélos et d’un triporteur pour les déplacements professionnels
des agents communaux.
L’élaboration d’un schéma global d’aménagementdes pistes cyclables
sur la commune.
La demande pressante de la commune pour la création d'un parking relai en face de la caserne (travaux prévus en 2020).
L’inscription de la commune dans les dispositifs métropolitains « Métropole apaisée »
et « Zone à Faibles Emissions (ZFE)».
Pourquoi la ZFE « Zone à Faible Emission » ? Pour améliorer la qualité de l’air que nous respirons
Cette ZFE va concerner 28 communes de la métropole
en 2020, avec une application progressive jusqu’en 2026
Elle concerne les véhicules de transport de marchandises
(véhicules utilitaires légers et poids-lourds) les plus polluants (*)
L’objectif est la réduction de ¾ des émissions d’oxyde d’azote (NOx) dans la métropole, afin que plus aucun habitant de la métropole ne soit exposé à une pollution dépassant les seuils réglementaires
(*) La métropole accompagne les professionnels concernés, pour l’utilisation de véhicules moins polluants
Sensibiliser et informer :
4 :
c’est le nombre de dossiers sur le développement durable : Les transports en commun, Parlons de nos déchets, Un peu d’énergie !, Varces en transition;
21 :
c’est le nombre de pages environnement et cadre de vie, pour des informations et des conseils pratiques;
3 :
c’est le nombre d’éditions de la « semaine pour la planète » sur des thèmes divers : biodiversité, transports, alimentation, déchets…
2 :
c’est le nombre d'éditions du « Jour de la Nuit » pour comprendre les enjeux de l’extinction de l’éclairage.